(Le 14 mars 2024 – Ville de New York, New York, États-Unis) – La Cheffe nationale de l’Assemblée des Premières Nations (APN), Cindy Woodhouse Nepinak, a assisté à la 68e session de la Commission de la condition de la femme (CCF) des Nations Unies à New York, sur le territoire traditionnel des Canarsie, des Munsee Lenape et des Wappinger, en tant que membre de la délégation canadienne. La délégation canadienne comprenait également des représentants des gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux, notamment la ministre des Services aux autochtones, Patty Hajdu, la ministre des Femmes, de l’Égalité des genres et de la Jeunesse, Marci Ien, ainsi que Lisa Hepfner, secrétaire parlementaire. Le thème prioritaire de la CCF est « Accélérer la réalisation de l’égalité des sexes et l’autonomisation de toutes les femmes et filles en luttant contre la pauvreté et en renforçant les institutions et le financement dans une perspective de genre ».
« L’autonomisation des femmes des Premières Nations est essentielle au bien-être et à la prospérité des communautés des Premières Nations et de la société dans son ensemble », a déclaré la Cheffe nationale de l’APN, Cindy Woodhouse Nepinak. « Pour s’attaquer à la pauvreté et à ses multiples répercussions, il faut non seulement modifier les politiques, mais aussi mobiliser des ressources. Lorsque nous finançons dans une perspective sexospécifique, nous n’investissons pas seulement dans les femmes, mais aussi dans la prospérité des Premières Nations et le bien-être des générations futures. C’est pourquoi nous demandons instamment aux gouvernements du monde entier de s’engager à financer de manière transparente et pluriannuelle des programmes ayant pour objectif de soutenir nos femmes et nos communautés. »
« Je me réjouis d’avoir partagé mon point de vue dans le cadre des discussions productives qui ont eu lieu dans le cadre de la Commission de la condition de la femme des Nations Unies à New York. En travaillant ensemble, nous pouvons faire en sorte que des mesures concrètes soient prises pour remédier aux inégalités entre les genres et aux difficultés particulières auxquelles sont confrontées les femmes des Premières Nations et les personnes de divers genres, et pour garantir la protection des droits humains de toutes les femmes et de toutes les filles. »
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