Après avoir consacré 17 ans à son rôle de Chef de la Première Nation de Muskowekwan et 16 ans à la Saskatchewan Indian Gaming Authority (SIGA), Reginald Bellerose est fier de présenter sa candidature au poste de Chef national de l’Assemblée des Premières Nations.

Bien qu’il s’engage à traiter un large éventail d’enjeux, son programme est axé sur l’établissement de sept générations de richesse, le renforcement des relations de nation à nation, l’avancement des dossiers et l’amélioration du bien-être dans les communautés. Reg voit la bonne gouvernance comme un leadership qui engendre des retombées positives pour les peuples des Premières Nations, que ce soit dans les domaines de la santé et du bien-être, de l’autodétermination économique, de la souveraineté environnementale ou des changements climatiques.

Tout au long de sa carrière, Reg Bellerose a prouvé son engagement à l’égard de l’autodétermination économique. Au cours de ses huit années à la présidence de la SIGA, l’organisation a généré 583 millions de dollars de revenus nets, ce qui a conduit à des répercussions positives sur les 74 communautés des Premières Nations de la Saskatchewan. Au cours des 16 années qu’il a passées à la SIGA, en tant que membre du conseil d’administration, la société a accumulé un revenu net de plus de 1,2 milliard de dollars. En outre, Reg a fait partie intégrante d’un effort collectif de lobbying en faveur de la pleine compétence des Premières Nations en matière de jeux dans les réserves. Le projet de loi S-268, présenté au Sénat du Canada en juin 2023, est le fruit de cet effort collectif. Tout au long de son parcours, son travail politique et ses réalisations ont été soulignés par trois cérémonies de remise de coiffe.

En tant que Chef de Muskowekwan, Reg a donné la priorité à la promotion des droits de propriété et à l’attraction d’investissements dans la communauté. Son leadership a créé la stabilité politique nécessaire pour assurer une voie viable vers l’autodétermination économique en modernisant le statut foncier de la Nation. Les jeunes ayant toujours inspiré et motivé son leadership, son objectif consiste à s’assurer que les enfants sont fiers du monde qui leur a été transmis.

Reg croit que les Premières Nations devraient recevoir un appui pour pouvoir déterminer leur propre guérison et leur propre bien-être, car le système de santé colonial existant a toujours échoué à cet égard. Pour y parvenir, il faudra travailler avec les professionnels de la santé et du bien-être des Premières Nations, les gardiens du savoir et les communautés en vue d’élaborer nos propres façons efficaces d’aborder la prestation de soins.

Ses efforts de plaidoyer ont notamment porté leurs fruits dans les domaines des jeux, de l’éducation, du soutien à la guérison après les pensionnats, des droits miniers, de la réforme de la justice, de la protection de l’enfance et du marché du travail. Reginald a appuyé d’importantes résolutions à l’APN, notamment la résolution 15 et celles portant sur le projet de loi C-92, la réforme de la justice au nom de Colton Boushie, Tina Fontaine et d’autres. Reg s’engage à assurer un avenir meilleur en travaillant ensemble et en appuyant les résolutions des Chefs, y compris le rapport final sur la résolution 13/2020 (Devenir un modèle en éradiquant la discrimination fondée sur l’orientation sexuelle et le sexe au sein de l’Assemblée des Premières Nations) et la Stratégie sur les changements climatiques.

Reg Bellerose a siégé à de nombreux conseils d’administration, dont ceux du Saskatchewan Indian Training Assessment Group, de la Saskatchewan Health Authority et du CarbonRX. Il est titulaire d’une maîtrise en gestion de projets de l’Université de la Saskatchewan et d’un baccalauréat en histoire et en sciences politiques de l’Université Concordia. De plus, Reg combine sa formation universitaire avec la sagesse et les connaissances acquises en travaillant auprès des Chefs, des aînés et des jeunes.

À compter du 6 décembre 2023, Reg Bellerose est prêt à mettre à profit ses 17 années d’expérience pour aider les Chefs du Canada à naviguer les méandres d’un paysage politique complexe en vue de régler les enjeux qui leur tiennent le plus à cœur.

Pour obtenir de plus amples renseignements sur le programme de Reginald Bellerose et des liens vers ses comptes de médias sociaux, veuillez consulter le site www.bellerose2023.com.

Craig Makinaw est né et a grandi au cœur du territoire du traité n° 6. Son leadership est profondément ancré dans son engagement envers sa communauté et sa famille. Avec son épouse Delorna et leurs neuf enfants, la vie de Craig incarne les valeurs traditionnelles de la famille, du respect et de la responsabilité. Il a également la chance d’avoir treize petits-enfants et trois arrière-petits-enfants, ce qui lui permet de se rendre compte de l’impact réel du leadership et de la prise de décision qui englobent les valeurs familiales et communautaires que les peuples autochtones partagent dans toute l’Amérique du Nord.

Le parcours politique de Craig est marqué par une série de rôles influents : Chef régional de l’APN en Alberta, 19 ans au Conseil d’Ermineskin, six ans en tant que Chef de la nation crie d’Ermineskin, Grand Chef de la Confédération des Premières Nations du Traité no 6, et six mois en tant que directeur exécutif du MCTC. Son mandat de Chef est notamment marqué par ses efforts fructueux pour rapatrier le fonds fiduciaire de Neyaskweyak, renforcer l’autonomie des nations dans la gestion de leurs ressources et favoriser la création du groupe d’entreprises Neyaskweyak. Ces avancées en matière de développement économique reflètent l’engagement inébranlable de Craig en faveur de la prospérité des Premières Nations.

Son action ne se limite pas au développement économique. En tant que défenseur acharné des droits ancestraux et des droits issus de traités, Craig a abordé des questions essentielles dans des forums nationaux et internationaux, notamment lors de présentations devant le Comité sénatorial permanent des affaires autochtones et les Nations Unies. Ses efforts sont axés sur la santé, l’éducation, les infrastructures et des questions sociales cruciales telles que le logement, le bien-être et la participation des aînés et des jeunes à la planification communautaire. Ces efforts témoignent de son approche holistique du leadership.

Dans son rôle le plus récent au sein du conseil d’Ermineskin, Craig a joué un rôle essentiel dans la revitalisation de sa communauté après la COVID-19, en mettant à jour les lois, en améliorant la transparence grâce à des réunions régulières avec les membres de la communauté et en s’attaquant à des problèmes cruciaux tels que le logement et le développement économique. Sa vision porte sur l’amélioration des programmes de mieux-être et la garantie de l’inclusion des membres hors réserve et de leur soutien.

En conclusion, Craig a fait preuve de leadership en faisant appel à des conseillers issus de tous les domaines des structures socio-économiques auxquelles nous sommes liés depuis que nous avons été exposés à des cultures de colons externes. Il a réussi à œuvrer dans ces systèmes avec l’aide de ses professeurs et de ses aînés, qu’il côtoie dans tous les domaines de sa vie. Craig a pour objectif d’unifier et de collaborer avec les nombreux Chefs des nations présentes sur cette terre que l’on appelle aujourd’hui le Canada. Il souhaite diriger avec humilité et dans le respect de toutes les nations, signataires ou non d’un traité, qui vivent sur nos magnifiques territoires.

La GRANDE CHEFFE SHEILA NORTH, Wikahsko Iskwew, est une dirigeante crie, une femme politique, une militante, une journaliste et une auteure de la nation crie de Bunibonibee, sur le territoire du Traité no 5. Elle était auparavant la Grande Cheffe de la Manitoba Keewatinowi Okimakanak (MKO). Elle a été élue en 2015 et est la première femme à occuper ce poste.

La Grande Cheffe Sheila North est une militante de longue date pour les droits inhérents, les droits issus de traités, le titre et les droits de la personne des peuples des Premières Nations. Elle sait que notre organisation nationale a été créée par nos ancêtres pour honorer nos nations souveraines, faire progresser nos droits et les mettre en œuvre.

Sous la direction de la Grande Cheffe Sheila North et dans le cadre de son plan d’action, la MKO a contribué à la réalisation d’une étude historique sur l’impact économique, qui a mesuré les contributions autochtones à l’économie et au PIB du Manitoba à hauteur d’environ 9,3 milliards de dollars en un an. Elle a milité aux côtés de nombreux survivants, familles, dirigeants et alliés pour que l’Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées devienne une réalité, et elle continue de militer pour la mise en œuvre des « 231 appels à la justice » compris dans le rapport final de l’Enquête. Elle a commandé un programme d’études sur les FFADA avec le soutien de la Fondation canadienne des femmes et a créé le mot-dièse couramment utilisé, MMIW, en 2012 pour s’assurer que cet enjeu demeure dans l’esprit du public et soit toujours considéré comme une priorité en matière de droits humains au Canada.

La Grande Cheffe Sheila North est directrice de la Commission internationale des personnes disparues (CIPD), chargée des enfants disparus, des pensionnats indiens et de la mobilisation. Elle lutte pour défendre la dignité de notre peuple et a pour mission d’assurer l’obligation de rendre compte, la justice et la restitution en ce qui concerne les enfants disparus et les tombes anonymes, à l’échelle internationale et au Canada. Elle continue de diriger la stratégie politique et de mobilisation en regard des tombes anonymes et des enfants disparus dans les anciens pensionnats indiens.

La Grande Cheffe Sheila North est une voix autochtone dans les médias et une journaliste primée qui a coproduit un documentaire avec Leonard Yakir, intitulé 1200+, mettant en lumière les problèmes systémiques qui exposent les femmes, les filles et les personnes bispirituelles autochtones à un risque accru de violence et d’exploitation sexuelle. Ces problèmes affectent également de plus en plus les hommes et les garçons, et c’est pourquoi Sheila utilise le mot-dièse MMIR pour prendre en compte tous les proches portés disparus ou assassinés et frappés par cette tragédie nationale.

La Grande Cheffe Sheila North utilisera ses contacts internationaux pour encadrer la discussion et les stratégies visant à défendre et à mettre en œuvre les droits inhérents et les droits issus de traités, et mettra à profit son expérience journalistique pour élargir le débat sur les droits partout au pays.

La force de nos nations découle de nos droits.

Coordonnées :

Candidate : Sheila M. North
877 323 5080
Courriel: [email protected]
Directrice de campagne : Sheila Musqua Keewatin
877 323 5080
Courriel: [email protected]

Infos médias : Alexandra Paul 204 801 0773
courriel: n[email protected]
www.sheilanorth.ca X @TheSheilaNorth; Facebook et Instagram: Sheila North

David Gordon Pratt est fier d’être membre de la Première Nation de Muscowpetung, située sur le territoire visé par le Traité n^o 4. Il accomplit actuellement son deuxième mandat de Premier Chef adjoint de la Federation of Sovereign Indigenous Nations (FSIN), au sein de laquelle il a été élu à la suite d’un suffrage exceptionnel de plus de 70 % des voix pour diriger les 74 Premières Nations de la région de la Saskatchewan.  

Le père de David, William H. Pratt Sr., était membre de la Première Nation de Muscowpetung et ancien combattant de la Seconde Guerre mondiale très respecté. Il a aussi siégé au conseil de sa nation pendant plus de 30 ans. Sa mère, Marion Isabel Pratt, membre de la Première Nation de Cote, a également été une dirigeante élue. Tous deux survivants des pensionnats indiens, ils ont inculqué à David et à ses 14 frères et sœurs non seulement les valeurs du respect et du travail acharné, mais aussi la volonté de défendre les intérêts de ceux qui n’ont pas la possibilité de s’exprimer. 

David est un dirigeant visionnaire qui a fait ses preuves en apportant des améliorations notables et en faisant progresser les droits inhérents et issus des traités des Premières Nations. En 2022, sous sa direction, la FSIN a créé le tout premier poste de médiateur pour la santé des Premières Nations en réponse à la discrimination et aux mauvais traitements que subissent les citoyens des Premières Nations dans le système de santé. 

David a été un fervent défenseur du projet de loi C-92, Loi concernant les enfants, les jeunes et les familles des Premières Nations, des Inuits et des Métis, qui reconnaît les droits inhérents des Autochtones. Il a travaillé en étroite collaboration avec des dirigeants actuels et antérieurs, le Conseil consultatif de l’APN et Cindy Blackstock pour s’assurer qu’aucun enfant ne serait exclu de l’Accord final de règlement, en 2023. Par son leadership, il a aidé la Société de soutien à l’enfance et à la famille des Premières Nations à obtenir une indemnisation pour tous les enfants des Premières Nations ayant été victimes de discrimination dans les réserves, malgré les efforts d’opposants. 

David est actuellement coprésident de la Table nationale sur la santé de l’APN, aux côtés de Glen O’Hare, Chef régional de l’Ontario. À ce poste, il s’est engagé sans réserve à soutenir la reconnaissance du droit inhérent à l’autonomie gouvernementale dans les soins de santé et la mise en œuvre du droit à la santé issu des traités.  

Son dévouement à l’amélioration du bien-être des communautés des Premières Nations témoigne de son engagement indéfectible à l’égard des mandats qui lui ont été conférés par les Chefs-en-Assemblée. Les résultats exemplaires de David Pratt en matière de leadership en disent long sur sa capacité d’engager des changements importants. S’appuyant sur la sagesse collective, il est prêt à unir davantage nos diverses nations sous la bannière de l’APN afin qu’elles s’expriment harmonieusement d’une seule voix partagée et puissante. En réunissant autant de nations que possible parlant d’une seule voix commune, nous pouvons avancer avec confiance vers un avenir plus radieux et plus équitable, où la reconnaissance de nos droits inhérents occupera le devant de la scène.  

Pour obtenir plus de renseignements sur le leadership de David, veuillez consulter le site Web suivant : https://www.davidprattafn.org/fr/ 

Membre du Clan de la Grue, lié au héron bleu dans la région centrale des Grands Lacs, Dean Sayers a été Chef de la Première Nation de Batchewana pendant près de vingt ans. Son parcours de dirigeant a été motivé par son engagement indéfectible à l’égard du progrès et du bien-être des peuples originels de ces terres.

Tout au long de son mandat, Dean a consacré énormément de temps et d’efforts à la défense acharnée des intérêts et des droits des communautés autochtones. Il est fermement convaincu que la création de l’Assemblée des Premières Nations (APN) a été une étape marquante, car celle-ci a été mise sur pied en tant que porte-parole et défenseur des intérêts collectifs des Autochtones.

Sa décision de se présenter au poste de Chef national a été influencée par ses échanges avec les aînés et les gardiens du savoir et sa profonde croyance dans les cérémonies. Dean est aussi guidé par la vision de nos ancêtres, selon laquelle il faut adopter une approche holistique axée sur la préservation de nos langues, de nos terres et de notre peuple, tout en affirmant nos lois originelles et en mettant l’accent sur une protection active de la compétence inhérente.

En tant que prétendant au poste de Chef national, Dean s’engage à revitaliser les éléments fondamentaux de l’appartenance à la nation au sein des communautés autochtones, tout en veillant à ce que ces dernières redeviennent des piliers. Par son leadership, il compte donner à toutes les communautés autochtones au pays les moyens d’améliorer leur système de gouvernance communautaire et obliger les gouvernements des colons à honorer leurs promesses et leurs engagements inscrits dans les traités et les accords et à reconnaître la compétence inhérente. Il sera ferme tout en demeurant impartial, et il encouragera tous les dirigeants des Premières Nations à récupérer leurs domaines de compétence, qui n’ont jamais été cédés dans aucun traité ou accord.

La carrière remarquable de Dean est jalonnée de faits marquants, notamment son rôle de négociateur principal dans le litige portant sur les annuités du Traité Robinson Huron de 1850, qui a abouti à un règlement impressionnant de 10 milliards de dollars. Dean a aussi été un ardent partisan de la lutte des Premières Nations de l’Ontario contre le projet de taxe de vente harmonisée. En tant que Chef, il a participé régulièrement à des réunions de dirigeants régionaux, telles celles de l’APN. Dans ces rencontres, il a fait bénéficier l’ensemble de la communauté autochtone de son expérience et de ses idées.

Dean est conscient que l’emploi d’une approche unique ne peut pas fonctionner sur les diverses terres des peuples autochtones. Le moment est venu de redonner aux Autochtones la place qui leur revient sur leurs terres en tant que premier ordre de gouvernement. Bien que cette voie comporte de nombreux défis, il s’agit avant tout de la tracer. Doté des bases nécessaires, le collectif des Premières Nations peut réaliser les progrès auxquels tout le monde aspire. Dean veut être le catalyseur de ce changement, en travaillant main dans la main avec les communautés autochtones.

Humble de nature, Dean est très fier de s’engager dans cette voie si importante. Il compte défendre les travaux prévus au nom des communautés autochtones et travailler à l’amélioration de leur avenir commun.

Pour obtenir plus de renseignements sur Dean Sayers, veuillez consulter le site Web suivant : www.deansayers.com.

La Cheffe régionale Cindy Woodhouse est née et a grandi dans la communauté anishinaabe de la Première Nation de Pinaymootang, située sur le territoire visé par le Traité no 2, au Manitoba. Son arrière-arrière-grand-père, le Chef Richard Woodhouse, a été l’un des premiers signataires du Traité no 2, le 21 août 1871.

Le père de Cindy, le Chef Garnet Woodhouse, a travaillé au service des Premières Nations en tant que Chef et conseiller pendant plus de quarante ans. Titulaire d’une maîtrise en éducation, sa mère a servi les élèves des Premières Nations pendant plus de trente-cinq ans.

Ses parents ont commencé à l’emmener à des réunions nationales dès son plus jeune âge. Ainsi, Cindy s’est familiarisée très tôt avec les droits pour lesquels luttaient les dirigeants des Premières Nations de l’époque. Ce legs en matière de leadership, son éducation et sa culture sont des valeurs fortes qui lui servent de référence dans la protection des droits inhérents et issus des traités des Premières Nations, y compris leur mode de vie culturel.

Titulaire d’un baccalauréat es arts de l’Université de Winnipeg, Cindy a également suivi le programme « Leading People and Investing to Build Sustainable Communities » de l’Université Harvard et le programme « Tribal Leaders » d’Harvard Business.

Cindy a commencé sa carrière en tant que conseillère du Chef du Manitoba Francis Flett, puis d’autres dirigeants des Premières Nations, dont les Chefs nationaux Perry Bellegarde et Shawn Atleo de l’Assemblée des Premières Nations (APN). Durant sa carrière, Cindy n’a jamais travaillé pour un autre gouvernement qu’un gouvernement des Premières Nations.

En tant que Cheffe régionale, elle a dirigé des négociations au nom de l’APN qui ont abouti au règlement historique de plus de 40 milliards de dollars du recours collectif en matière de droits humain qui porte sur la discrimination dans le système de protection de l’enfance. Au cours de son mandat de Cheffe régionale, Cindy a aussi défendu de nombreuses autres causes :

• Elle mené des activités de plaidoyer pour obtenir de l’eau potable, un accès universel à Internet et des infrastructures et des logements pour toutes les Premières Nations;
• Elle a régulièrement soulevé de nouvelles questions au nom des Chefs de sa région, telles que des mesures pour mettre en œuvre la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones, des services de police et des services d’urgence;
• Elle a travaillé avec des dirigeants des Premières Nations à la protection des droits collectifs : les droits inhérents et issus de traités, le titre, la compétence, le droit à l’autodétermination et tous les droits humains.

Au fil de sa carrière, Cindy a accumulé une grande expérience en matière de lobbying auprès du Sénat, de la Chambre des communes, des ministres et du cabinet du Premier ministre, qui lui permet d’accomplir les mandats conférés par les Chefs. Pour obtenir plus de renseignements : www.cindywoodhouse.ca.

Responsable de campagne : Jayde Chingee
Téléphone : 250-301-4781

Courriel : [email protected]
Site Web : https://www.cindywoodhouse.ca
Téléphone : 204-918-7802